EDITO : Le mois de mars est le mois des libertés

Il y a tout d’abord le 8 mars avec la journée internationale des droits des femmes, où il est question aussi de liberté de la femme, mais encore de liberté de genre qui permet de découvrir qui l’on est sans être bloqué dans des stéréotypes ; ces stéréotypes qui rendent la vie dure à tout le monde. Que ce soit pour ce qui est du choix de notre apparence ou du métier que l’on choisi de faire.

Puis viennent les 20, 21 et 22 mars, avec le Printemps de l’Orientation. Durant ces 3 jours, les élèves pouvaient trouver plus facilement leur voie ; ils ont la liberté de choisir leur parcours, leurs études et donc leur avenir. Que ce soit en allant vers un métier dit masculin alors que l’on est une femme, ou encore que ce soit pour s’essayer à un service civique ou travailler dans un domaine totalement opposé à son parcours scolaire : il faut du courage pour choisir librement !

La liberté d’expression est un sujet très important, surtout dans un journal. Sans la liberté de parler, on perd son libre-arbitre, sa capacité à partager ses idées et donc à inventer et imaginer.

Quoi de mieux pour célébrer cette liberté que le Printemps des Poètes. De plus, cette année la thématique était « Frontières ». On dit bien que la liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres. La liberté peut-elle connaître une frontière alors ?

Pour compléter la liberté d’expression, on a la liberté d’information qui permet de partager des informations donc des connaissances à travers le monde entier. La presse et les médias sont les premiers utilisateurs de cette liberté. Parfois nous avons accès à des informations erronées voire totalement fausses. C’est pour cela qu’a eu lieu la semaine de la presse et des médias fin mars, pour pouvoir aider les plus jeunes à comprendre les médias, savoir trouver les sources et les vérifier pour ainsi avoir un avis de citoyen un peu plus éclairé sur tout ce que l’on peut voir et entendre à la télé.

Toutes ces libertés nous donnent les moyens de nous épanouir en tant que personne. Souvent, nous sommes les premiers à restreindre nos libertés, à fermer les portes et à nous poser des barrières. Mais il faut s’autoriser à être libre d’essayer de nouvelles choses, de se tromper et surtout être libre de choisir qui l’on est. Car c’est dans la liberté que l’on trouve certainement le bonheur de vivre.

Peut-être est-ce aussi pour cela que la journée dédiée au bonheur était le 20 mars…

Rédaction : Florine Notel du Lycée l’Acheuléen à Amiens / Club médias

Crédit photo : Kevin Devigne – Gazette Sports

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